{"id":490,"date":"2015-01-02T22:49:10","date_gmt":"2015-01-02T21:49:10","guid":{"rendered":"http:\/\/www.archipress.org\/wp\/?page_id=490"},"modified":"2015-01-18T18:18:55","modified_gmt":"2015-01-18T17:18:55","slug":"document-monument","status":"publish","type":"page","link":"https:\/\/www.archipress.org\/?page_id=490","title":{"rendered":"Document-monument"},"content":{"rendered":"

\"Michel Foucault, L’arch\u00e9ologie du savoir<\/em>, Gallimard, 1969.<\/p>\n

\u00abJ’ai donc entrepris de d\u00e9crire des relations entre des \u00e9nonc\u00e9s. (…) Je me suis d\u00e9cid\u00e9 \u00e0 ne n\u00e9gliger aucune forme de discontinuit\u00e9, de coupure, de seuil ou de limite (…) je voudrais montrer sur des exemples pr\u00e9cis, qu’en analysant les discours eux-m\u00eames, on voit se desserrer l’\u00e9treinte apparemment si forte des mots et des choses, et se d\u00e9gager un ensemble de r\u00e8gles propres \u00e0 la pratique discursive (…) Certes, les discours sont faits de signes; mais ce qu’ils font, c’est plus que d’utiliser ces signes pour d\u00e9signer des choses. C’est ce plus, qui les rend irr\u00e9ductibles \u00e0 la langue et \u00e0 la parole. C’est ce \u00abplus\u00bb qu’il faut faire appara\u00eetre et qu’il faut d\u00e9crire.\u00bb<\/p>\n

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\nCopie personnelle annot\u00e9e RB<\/p>\n